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Peut on considérer des tentatives de suicides comme des effets collatéraux d'un incident de micro managment ?
Monsieur,
Mr
G C, qui est aujourd'hui dans un profond état dépressif et
parle régulièrement de suicide, a été l'une des nombreuses victimes des
malversations des gestionnaires de comptes de le BNP Paribas Monaco,
fort mal surveillés en leur temps, par les équipes d'encadrement et les
directeurs de cet établissement.
Vous seriez peut être tenté de le qualifier du terme peu flatteur de "victime collatérale", dans le cadre d'une gestion de micro managment, sans réelle importance à vos yeux, au vu de la grandeur des charges qui reposent sur vos épaules. Cela serait une grave erreur!
Monsieur G C, ainsi que bien d'autres clients déconfits et réduits à la misère, a tenté à plusieurs tentatives de trouver un arrangement amiable avec Mr Dominique Roy, directeur de votre établissement Monégasque ( les courriers vous ont été transmis). Il s'est à chaque fois retrouvé devant un mur de dédain, et devant un incroyable sentiment d'impunité qui transpirait des propos de Mr Roy et de son conseil juridiques, propos proférés devant témoins, sans aucun sens moral " Ici à Monaco, nous ne craignons rien".
Que d'arrogance! Des journalistes enquêtant sur ces faits, suite à la parution d'un premier article dans le Canarde enchaîné ( Monaco hebdo et Libération) ont rendu publique la terrible épreuve à laquelle il se trouve aujourd'hui confronté. Ces journalistes évoquent aussi 2 autres cas similaires, de clients qui ont presque tout perdu du fait de l'incapacité du directeur de vos établissements monégasques, Mr Roy, et de son gestionnaire de portefeuille, Mr Pascal Stillitano.
Vous seriez peut être tenté de le qualifier du terme peu flatteur de "victime collatérale", dans le cadre d'une gestion de micro managment, sans réelle importance à vos yeux, au vu de la grandeur des charges qui reposent sur vos épaules. Cela serait une grave erreur!
Monsieur G C, ainsi que bien d'autres clients déconfits et réduits à la misère, a tenté à plusieurs tentatives de trouver un arrangement amiable avec Mr Dominique Roy, directeur de votre établissement Monégasque ( les courriers vous ont été transmis). Il s'est à chaque fois retrouvé devant un mur de dédain, et devant un incroyable sentiment d'impunité qui transpirait des propos de Mr Roy et de son conseil juridiques, propos proférés devant témoins, sans aucun sens moral " Ici à Monaco, nous ne craignons rien".
Que d'arrogance! Des journalistes enquêtant sur ces faits, suite à la parution d'un premier article dans le Canarde enchaîné ( Monaco hebdo et Libération) ont rendu publique la terrible épreuve à laquelle il se trouve aujourd'hui confronté. Ces journalistes évoquent aussi 2 autres cas similaires, de clients qui ont presque tout perdu du fait de l'incapacité du directeur de vos établissements monégasques, Mr Roy, et de son gestionnaire de portefeuille, Mr Pascal Stillitano.
Ces clients hélas ne sont que les premiers d'une longue liste
Mr G.C quant à lui a aussi assigné le 20 décembre la banque
BNP PARIBAS MONACO pour faute grave, gestion hasardeuse et imprudente,
défaut de conseil et manquement à ses obligation de défense des intérêts
de ses clients. Il a perdu la quasi totalité de son patrimoine,
(environ
700 000 euros), qui a été follement investi contre toute logique et
contre tout bons sens presqu'exclusivement en obligations argentines à
une époque ou ces
obligations étaient considérées comme des JUNK BOND à très haut risque,
et interdite à la vente au public , comme le prouve le livret descriptif
qui les accompagnaient: et cela les gestionnaires de compte ne
pouvaient l'ignorer, sauf à être de fieffés incapables.
Mr GC a encore une fois, aprés avoir assigné la banque,
demandé à son avocate de revenir vers Mr ROY en lui indiquant qu'il
souhaitait trouver un arrangement amiable. Comme à chaque fois, il a
obtenu la même réponse, un refus obstiné, dont il s'est ouvert à nous.
De notre côté, aujourd'hui au vu d'éléments nouveaux qui ont été apporté à notre connaissance, nous pouvons prouver
-
que les gestionnaires de portefeuille avaient été avertis par leurs
supérieurs hiérarchiques Suisse et par les conseillers de
l'établissement, dés 1998, puis en 2000 , qu'il fallait cesser d'acheter
les obligations argentines, à haut risque, et au contraire les vendre
pour le cas où il y en aurait encore eu dans les portefeuilles des
clients. Pourquoi Mr Stillitano n' a t il pas suivi ces prescriptions?
pourquoi ses supérieurs, avertis l'ont ils laissé faire?
- que la banque avait pour seule logique la logique du profit, au détriment de la recherche de la protection des intérêts de ses clients; en effet sur chaque opération de vente ou d'achat, les commissions très élevées et souvent surfacturées ne profitaient qu'à la BNP PARIBAS ( ex UEB)
- que c'est un vaste système de fraude en bande organisée sur les commissions et rétrocommissions qui a été mis à jour,
car les gestionnaires trichaient sur le montant des commissions, et au
lieu d'applique le taux officiel défini par contrat, majoraient celui
ci de façon cachée, le doublant ou même le triplant ( ce qui explique
pourquoi sur le seul document officiel fourni par la banque dans le cas
de Mr G.C, les cases qui devaient comporter le montant des
commission ne sont pas renseignées, ce qui est bien entendu totalement
illégal). On peut se demander à juste titre si un tel système ne
continue pas à prospérer jusqu'à aujourd'hui
Pour ce faire, nous communiquerons toutes ces informations aux avocats des victimes de la BNP PARIBAS MONACO, afin qu'ils demandent que soient saisies les boites vocale et mails de plusieurs employés de la bnp Paribas au premier novembre 2003 et au mois d'aout 2010, car ces enregistrements contiennent les preuves de ce que nous affirmons.
Comme vous le savez la banque est tenue de conserver tous ces documents 10 ans, et elle doit les tenir à disposition de la justice.
Tous ces faits frauduleux sont passibles de sanctions pour non respect de la réglementation bancaire franco/monégasque.
Ce sont des dizaines et des dizaines de clients pour la seule BNP Paribas qui ont ainsi été grugés et abusés, pour un montant global de plus de 50 000 000 d'euros minimum ( pour la seule bnp paribas Monaco)
Bien loin d'être de petits problèmes de "micro managment",
ils démontrent que les gestionnaires de Bnp Paribas, Première banque
Française, ont laissé le succès leur monter à la tête, et se croient
au dessus des lois. Ils démontrent aussi comment des directeur
d'établissements monégasque, peu regardant sur les méthodes et trop
gourmands, veulent croire et faire penser qu'à Monaco, il n'y aurait pas
de lois; que la Principauté, qui se bat pourtant pour démontrer sa
volonté de lutter contre l'image de paradis fiscal douteux qui lui
colle à la peau, resterait un terrain de jeu pour trafiquants en tous
genre, où seul le pouvoir de l'argent ferait loi!
C'est tout simplement scandaleux. Particulièrement alors que SAS
la Prince Albert II lutte dans répit et avec une volonté de fer pour
clarifier et rendre limpide la vie économique de la Principauté, et que
justement grâce à tous les efforts entrepris, Monaco est sorti de la
liste grise des paradis fiscaux non-coopératifs établie par l'OCDE.
Aujourd'hui du fait des comportement fautifs des dirigeants et
gestionnaires de portefeuille de la BNP Paribas, la presse s'est emparée
de ces affaires, et il n'est que de faire une recherche sur internet
avec google pour s'en convaincre. Et cela ne fait que commencer! Pour le
moment les articles ne sont parus qu'en langue française. Mais les
journalistes sont curieux et veulent en savoir plus, car ils veulent
étaler au grand jour la duplicité des banquier et leur manque total de
sens moral.
Il est lamentable de constater que simplement par ce qu'un
établissement bancaire refuse de reconnaître ses fautes, on en arrive
là! Et votre responsabilité Mr Prot est en effet bien lourde, qui
engage la BNP Paribas et la BNP Paribas Monaco ( la banque est connue
pour être procédurière, car elle pense que les clients mécontents
baisseront les bras et se lasseront!) dans un procès a l'issue plus
qu'incertaine au vu des documents dont la production par vos service ne
manquera pas d'être invoquée, procès qui non seulement ternira irrémédiablement la réputation de BNP Paribas mais aussi celle d'une principauté qui vous a accueilli a bras ouverts et ne mérite en rien un tel camouflet.
Quelle belle publicité pour vous et pour la principauté de Monaco
qu'un titre du genre " un client de la BNP PARIBAS Monaco, ruiné par
sa banque se suicide".
Oseriez vous dire que tout cela n'est que du "micro managment"?
Francoise Zorro
copies par mail à
Secrétaire particulière de S.A.S. le Prince Albert IIde Monaco
Mr Piccinini Ministre des finance de Monaco
amaf: association Monégasque des Banques et de la Finance
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